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Biennale de Venise 2015 – Partie III – Art in the city

  • Posted by Béatrice Cotte
  • On 25 juin 2015
  • 2015, Biennale de Venise
Après avoir arpenté les sites des Giardini et de L’Arsenale, la visite de la Biennale de Venise continue au gré des balades dans la ville. Une belle occasion pour pousser les portes des palais vénitiens ou des églises spécialement ouverts pour l’occasion, ou de se laisser voguer vers quelques îles alentours peu fréquentées le reste de l’année… C’est le cas par exemple, de l’île de San Lazzaro degli Armeni qui accueille au sein du  monastère Mekhitariste le Pavillon de l’Arménie, Lion d’or de cette Biennale de Venise 2015.
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015


 Biennale de Venise 2015 – Pavillon national de la république d’Arménie, sculpture du français Melik Ohanian

L’exposition « Armenity » s’articule autour d’artistes de la diaspora arménienne. En cette année de la commémoration du centenaire du génocide des Arméniens, elle s’attache à renforcer le concept de déplacement et de territoire, de justice et de réconciliation, d’ethos et de résilience. Les œuvres expriment la mémoire et l’identité et réinventent une certaine arménité. Si le site vaut le détour, l’exposition bien qu’intellectuellement intéressante, ne laisse malheureusement pas un souvenir impérissable… Au final, on se dit que les considérations politiques ont clairement prévalues sur les critères artistiques pour cette attribution du 56ème Lion d’or et c’est bien dommage…

Pavillon de l’Azerbaijan

Ca’ Garzoni, Calle del Tragheto o Garzoni, San Marco 3416

 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Biennale de Venise 2015 – Pavillon de l’Azerbaijan – Exposition Vita Vitale- sculpture Waterbones de Loris Cecchini

Retour sur les rives du Grand Canal, pour une mention spéciale au Pavillon de l’Azerbaijan à la Ca’ Garzoni. L’exposition « Vita Vitale » réunie les œuvres de 39 artistes internationaux très connus, tels que, Tony Cragg, Mircea Cantor, Loris Cecchini, Ugo Rondinone, ou émergents, comme la jeune photographe française Noémie Goudal. Elle développe une réflexion sur le fragile équilibre de notre écosystème. Un regard d’autant plus probant à Venise, ville menacée de disparition du fait des dérèglements climatiques, du phénomène de l’acqua alta et d’une exploitation touristique en surrégime, Biennale de Venise en prime!

Les autres pavillons nationaux

L’Azerbaijan, présente un deuxième pavillon, mais moins séduisant, sur la Campo San Stefano, autour d’œuvres de quatre artistes nationaux.

Dans les parages, on passera vite les pavillons du Portugal, de Chypre, et de l’Estonie qui ne m’ont pas passionnés. Concernant les pavillons, disséminés sur le reste de l’île, ceux de l’Ukraine, de l’Equateur, ne m’ont pas non plus fait grande impression. Je regrette en revanche de n’avoir pas eu l’occasion de visiter ceux de l’Iran, de l’Irak, de l’Islande (avec sa mosquée installée dans une ancienne église – maintenant fermée au public) et de la Hongrie, qui semble-t-il méritent le détour.

Les événements collatéraux

Parmi les 44 événements « collatéraux », je recommande tout spécialement :

PROPORTIO

Palazzo Orfei, Museo Fortuny, S. Marco, 3780

 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Museo Fortuny – Exposition Proportio

L’exposition « Proportio » montée par l’antiquaire Axel Vervoordt au Museo Fortuny, est sans conteste l’un des points forts de l’offre « off ». Elle propose d’explorer l’omniprésence des proportions universelles dans l’art, la science, la musique et l’architecture. Elle s’articule autour de plusieurs thèmes : les chiffres sacrés, la séquence Fibonacci, la quadrature du cercle, le Modulor de Le Corbusier… C’est une invitation à réfléchir sur la relation dynamique existant entre l’ordre et le chaos.
Des œuvres commandées pour l’occasion à des artistes majeurs tels que Marina Abramovic, Anish Kapoor, Massimo Bartolini, Rei Naito, Michael Borremans, Izhar Patkin, Maurizio Donzelli, Otto Boll, Francesco Candeloro, Riccardo De Marchi et Arthur Duff côtoient des créations connues d’artistes comme Ellsworth Kelly, Sol Lewitt, Alberto Giacometti, Carl André, Agnes Martin, Fausto Melotti, Mario Merz et Ad Ryman, ainsi que des maquettes d’architectes comme Le Corbusier ou Richard Meier. Cette exposition, qui intègre à merveille des oeuvres d’art contemporain dans un décor de palais vénitien, est un véritable bijou. Un vrai coup de cœur !!!

My East is your West

Palazzo Benzon, San Marco 3927

 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Palazzo Benzon – Exposition My East is your West – Rashid Rana – Transpositions – 2013/15

Présentée par la Fondation Gujral, l’exposition réunit pour la première fois à Venise les œuvres d’une artiste indienne Shilpa Gupta(Mumbai)  et d’un artiste pakistanais Rashid Rana(Lahore). Deux artistes que j’adore. Deux artistes qui avec une extrême intelligence instaurent un dialogue original autour d’un passé commun, d’un présent divisé et laissent l’espoir d’un futur collaboratif prometteur. Une exposition à vivre comme une expérience immersive, qui questionne avec humour et jeu les concepts de présence physique et de temporalité.
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Palazzo Benzon – Exposition My East is your West –  Moi dans l’oeuvre vidéo de Rashid Rana

The Union of Fire and Water
Palazzo Barbaro, San Marco 2840
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Palazzo Barbaro – exposition The Union of Fire and Water –
Almagud Menlibayeva, vidéo Fire talk to Me, 2015

Sponsorisée par YARAT, un centre d’art à but non lucratif de Baku, l’exposition met en scène des vidéos, installations et sculptures de deux jeunes artistes, Almagul Menlibayeva (Kazakhstan) et Rashad Alabarov(Azerbaijan), pour nous parler d’histoire, de culture et d’architecture. Le point de départ de cette exposition est un palais de style gothique vénitien construit en 1912 à Baku par un magna du pétrole, Murtuza Mukhtarov pour sa femme bien aimée. A travers les œuvres exposées, on explore avec subtilité la complexité des unions culturelles entre Venise et Baku à travers le temps.

Conversion – Recycle Group

Eglise di San Antonin, campo San Antonin, Castello

 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Eglise San Antonin – Recycle Group – Convertion
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Eglise San Antonin – Recycle Group – Convertion – Biennale de Venise 2015

Dans les églises, on retiendra l’installation « Conversion » de Recycle Group à l’église Saint Antonin. Lorsque l’addiction des nouvelles générations aux nouvelles technologies s’érige en nouvelle religion – Le sigle de Facebook remplaçant la croix – Recycle Grouppropose là une magnifique et très inspirante  installation composée de différentes sculptures et bas-reliefs en résine qui s’inspirent de l’esthétique et de l’iconographie religieuse des œuvres anciennes. Les attributs religieux des personnages ont été remplacés par des téléphones portables, des tablettes tactiles, et autres gadgets de la communication contemporaine…Accompagnée d’une vidéo qui explique la démarche des artistes, l’exposition nous propulse in « The Cloud », le nouveau paradis ?

Together – Jaume Plensa

Basilique San Giorgio Maggiore et Officine dell’Arte Spirituale, île de San Giorgio Maggiore

 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Basilique San Giogio Maggiore – Jaume Plensa – Together – Biennale de Venise 2015

C’est devenu un rendez-vous incontournable de la Biennale : sur l’île de San Giorgio Maggiore, la basilique dessinée par Palladio expose depuis trois éditions une œuvre commandée spécifiquement à un artiste contemporain. Cette année, c’est au tour du sculpteur catalan, Jaume Plensa, 60 ans, de relever le défi avec « Together »(« Ensemble »). « Difficile, reconnaît-il, de s’affronter à ce lieu mythique de Venise, d’autant qu’il est toujours en fonction. Pas question de créer une œuvre qui risquerait de troubler les offices. » La sculpture monumentale – une tête de jeune fille aux yeux clos – qu’il a posée dans la nef est ainsi composée d’une fine résille d’inox, dessinant une forme quasi transparente. « C’est comme un hologramme qui évoque juste une présence, sans rien cacher de l’architecture », note l’artiste, ravi de voir la lumière du dehors traverser et animer son œuvre.
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Basilique San Giogio Maggiore – Jaume Plensa – Together – Biennale de Venise 2015
Face à ce visage, l’artiste a suspendu en hauteur, sous la coupole centrale, une grande main faisant le geste de la bénédiction : « L’un des symboles les plus forts du catholicisme, avec la croix ». Cette main est composée de lettres issues de huit alphabets différents. « J’aime à penser que peuvent se retrouver dans ce temple tous les hommes en quête de spiritualité, quels qu’ils soient. On sent dans ce lieu une vraie qualité de silence », explique Jaume Plensa.
Derrière la basilique, sous l’ancien dortoir des moines, le sculpteur expose cinq autres visages d’environ 1,50 mètre de haut. Cinq portraits de très jeunes filles, aux yeux fermés, placés en enfilade, dans une sorte de procession méditative. Ils sont sculptés dans l’albâtre dont les veines et le grain translucides rappellent la beauté et la vulnérabilité de la chair. Surgissant de la pénombre, l’effet de ces apparitions évanescentes est souligné, en écho, par trois dessins de visages, à peine esquissés.
 
Crowd and Individual – Magdalena Abakanowicz
Fondation Giogio Cini, île de San Giorgio Maggiore
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Fondation Giogio Cini – Magdalena Abakanowicz – Crowd and Individual  – Biennale de Venise 2015

 

L’artiste polonaise a représenté en 1980 la Pologne à la Biennale de Venise. Elle présente ici un thème central de son œuvre, ses sculptures de foules humaines, réalisées dans différentes matières. Ces foules, ponctuent son œuvre artistique et  représentent la condition humaine. Ici, les 110 figures, intérieurement vides, et parfois sans tête, font face à un animal « mutant ». En entrant dans l’espace plongé dans le noir, le visiteur est immédiatement confronté à cette foule angoissante. Les personnages et l’animal matérialisent le conflit entre l’instinct et l’intellect humain et évoquent les atrocités perpétuées par les humains au fil des siècles (on pense immédiatement à l’holocauste en faisant face à cette foule de « fantômes »). Une œuvre extrêmement forte qui ne laissera personne indifférent.
Das Meisterstück – Matthias Schaller
Cenacolo Palladiano, Fondation Giogio Cini, île de San Giorgio Maggiore
fondation Cini – Matthias Schaller – Das Meisterstrück –
Photographie de la palette de Cy Trombly  – Biennale de Venise 2015

 

Profitez d’être sur l’île de San Giorgio pour visiter la Fondation Cini, un véritable havre de paix, et faufilez-vous jusque dans l’ancien réfectoire (dessiné par Andréa Palladio) qui dévoile la copie des Noces de Cana (1562-1563) exécutée par Paolo Véronèse spécialement pour ce lieu. L’original est aujourd’hui conservé au Louvre. La reconstitution du décor originel, permet de mieux comprendre la beauté et la puissance de cette œuvre majeure.
Au centre du réfectoire, s’expose,  Das Meisterstrück, une série de dix photographies de Matthias Schaller, dix portraits indirects des plus grands peintres, révélés par leur palette. Depuis 2007, l’artiste allemand photographie les palettes des maîtres de la peinture comme Picasso, Turner, Delacroix, Bacon, Cy Trombly… Ces instruments de travail, où l’on découvre comment chaque peintre positionne ses couleurs, mélange les pigments, où l’on devine sa touche, sont comme de larges fenêtres ouvertes sur « un paysage inconscient et abstrait », véritable tableau avant le tableau. On se prend à jouer à « qui est qui ? », vous verrez le jeu est presque enfantin, mais terriblement captivant, car il nous donne la sensation « jouissive » de pénétrer dans le génie créateur de chaque peintre.
Glass Tea House Mondrian – Hiroschi Sugimoto 
Ile de San Giorgio Maggiore
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Vue depuis le Campanile de san Giorgio Maggiore de l’installation d’Hiroschi Sugimoto  – Biennale de Venise 2015

Le photographe japonais Hiroschi Sugimoto, connu pour ses magnifiques clichés noir et blanc, a réalisé sa première œuvre architecturale, le Salon de Thé Mondrian, sur l’île San Giorgio Maggiore. Conçu pour faire écho au Stanze del Vetro (« les chambres de verre »), une installation culturelle dédiée à l’art du verre qui se trouve sur la même île, ce pavillon de verre s’inspire des principes édictés au Japon au XVIe siècle pour la construction des salons de thé. Il se compose de deux structures : une cour ouverte et un cube de verre lumineux, dans lequel le maître de thé peut officier pour deux invités. Ce projet met en exergue le dialogue qui se crée entre l’intérieur et l’extérieur, l’ouverture et la fermeture, la légèreté et la gravité, l’eau et la terre
Parmi les autres événements collatéraux offerts durant cette Biennale, j’ai également jeté un œil, mais très rapidement passé mon tour à :

. « Jump into the Unknown »au Palazzo Loredan dell’Ambasciatore, dans le Dorsoduro

 . « Edge of Chaos »à la Casa Donati

.  « Come mi manchi » au Palazzo Malipiero

Les expositions des deux peintres Sean Scully au Palazzo Favier  et Peter Doigà la Fondation Bevilacqua La Masa, m’ont elles laissées sur ma faim. La première étant cependant plus intéressante que la seconde, vraiment décevante.

Enfin, je finirai ce petit tour « art in the city » avec les deux expositions très attendues et proposées par la Fondation Pinault :

« Slip of the Tongue » orchestrée par Danh Vo à la Punta della Dogana.

 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Vue de l’exposition Slip of the Tongue, Fondation Pinault, Punta della Dogana – Biennale de Venise 2015

Le titre de l’exposition (« slip of the tongue »signifie lapsus, langue qui fourche) est emprunté à celui de l’une des œuvres de l’artiste Nairy Baghramian (née en 1971), dont sont présentées trois installations. Préparée par l’artiste Danh Vo, qui a invité 35 artistes et choisi des œuvres dans la collection Pinault, l’exposition repose sur l’idée de construction et de déconstruction d’un objet artistique et invite à s’interroger sur les altérations que peuvent subir les œuvres d’art au fil du temps, sur les vicissitudes de leur conservation, de leur circulation, de leur restauration et de leur monstration. Personnellement, je n’ai pas été touchée outre-mesure par la sélection de l’artiste – mais, je retiendrai quand même l’œuvre d’Elmgreen & Dragset, Powerless Structures, Fig.13, qui consiste en un plongeoir et son socle traversant l’une des vitres du bâtiment et invitant au fantasme du « Grand Splash » que formule le peintre anglais David hockney dans ses tableaux de piscine californienne.
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Elmgreen & Dragset, Powerless Structures, Fig.13 – Biennale de Venise 2015

Les deux artistes danois souhaitent à travers cette structure évoquer des problématiques sur les rapports du sujet et du pouvoir qui les gouverne, sur ses mécanismes d’assujettissement, qui loin d’être extérieur aux individus, les constituent au contraire comme sujets. Ceux-ci peuvent les accepter mais peuvent aussi y résister, ou les altérer. C’est cette transformation imaginative des structures que le duo d’artistes veut faire apparaître dans le jeu qu’il produit avec et contre les institutions artistiques. Au delà de toutes ces considérations d’historien de l’art, ce plongeoir ouvrant sur l’eau de Venise, m’a largement invité au rêve et résonnait en moi comme un appel à fuir cette exposition…
 - Biennale de Venise 2015

– Biennale de Venise 2015

Enfin, L’exposition du peintre Martial Raysse au Palazzo Grassi, donne elle une lecture de l’œuvre originale. Caroline Bourgeois, commissaire de l’exposition, a choisi de nous offrir, grâce à un accrochage qui juxtapose œuvres anciennes et récentes, un regard contemporain inédit sur l’œuvre de l’artiste. Selon elle, le travail le plus récent modifie la façon de regarder le plus ancien. Un pari réussi. Cette exposition permet de mieux comprendre la singularité de Martial Raysse. Elle a aussi le mérite de finir notre petit tour à Venise sur une note colorée et pop, en totale opposition à la vision plutôt pessimiste du monde que nous offre, en règle générale, cette 56ème  Biennale de Venise!
LA BIENALE DI VENEZIA – Biennale de Venise
DU 9 MAI AU 22 NOVEMBRE 2015
www.labiennale.org

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About Béatrice Cotte

Fondatrice et Rédactrice en chef Diplômée d'une maîtrise en Histoire de l'art (Panthéon Sorbonne - Paris IV) et d'un Mastère en Management de l'édition (ESCP), elle commence sa carrière dans l'édition de livres d'art (Ville de Lyon et Imprimerie Nationale). Après une expérience en marketing dans le domaine du Luxe (LVMH et LANCASTER) et la création de deux marques textiles (Une Fée, Un Ange et Magic Stroller Bag), elle revient à ses premiers amours, l'art, et fonde en 2012 le site Follow Art With Me, transformé en 2016 en Follow Art With Us. En 2016, Béatrice est membre du Jury du Prix des Amis du Palais de Tokyo. En 2017 elle fonde l'association FAWU et la Bourse FAWU ABROAD.

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